Youhou ? Ouyétu ? Haaaaaaannnnnn !
This morning c’est le big day pour les quêteurs de jobs ! A 12 heures tapantes et trébuchantes, j’ai envoyé Howard faire un cliché pour couvrir le SALON DU LABEUR 2012 organisé par la grappe de greluches du Comité de Trouvailles de Taff de Mouize les Bégonias.
Good idéa ce salon !... Sauf que l’une des gesticuleuses or-ga-ni-sa-tri-ces s’est djust emmêlée les brides des compensées... : Pour l’adresse, la luronne molle de la gousse, du bureau de taff de la town d’à côté (20 bornes) a prôné la destination de not’ bureau au lieu de checker celle de la salle des fêtes... HARRRRRRRRRRG !
Toute la matinée, c’était comme si on était en boucle sur France info. Les jobbers en devenir, armés de leur invit, se sont canonnés dans notre antre avec One Kouecheune : « Ou-ki-lai-le-salon-du-taff ? »
Passé le 10ème quémandeur, avec Warren, la patience en turbulence, on était proche de dévisser. Alors on s’est replié dans la salle à kawateuse pour une dose salvatrice ! « J’ai les neurones dans le smog ! J’chuis pas un GPS ! J’ai la patience en autocuiseur ! Je vais pas passer la journée à jouer le guide du routard du taffeur !!! »... Vagis-jeu...
C’est alors que l’on entend Howard qui se parachute devant un nouvel égaré : "Bjour, Ha !??? Ké Salon des chercheurs de jôôôb ???? .... Mais mon brave, ce n’est pas dans cette contrée, ouuuuh ! Il faut vous rendre séant dans la seigneurerie de Yesterday les Figues, à 20 lieus d’ici !...".
Murés next door, je zieute Warren straight dans les mirettes et lui scande : « ôte-moi d’un doute Warren, c’est-bien-Howard-que j’ai-envoyé this morning faire un reportage à la salle des fêtes au salon du Taff... Alors le gars,... Il a déjà Alzheimeré qu’il y est allé !!! Et il me forward toda les pipeules dans la next ville : à Yesterday les Figues !!! DAMNED ! ARTUNG ! Ce gars est border la zone de non retour ! ... Il défie les concepts clé de la pensée connue !!! C’est un serial lobotomisé !!!! En pleine précarisation de l’intelligence le gnôme !!!! " Le viscose en sueur je hurle à mon collegue de galère : "Warren, vaz’y : DOUBLE dose de Kawa !!!".