2 s'condes de concentration pour notre bien être

Bonsoir les chums ! Je me demande si ce blog vaut encore le coup d'exister : les adeptes, vu les commentaires, pourraient se réunir dans une cabine téléphonique... Mais bon, c'est p'têt un p'tit coup de blues de ma part ? Allez ! faut pas se la raconter. Comme dirait Charlotte Jugnian, grande poétesse des années 80, «Allez hop !». Je vais quand même continuer ma prose, un moment en tout cas.

Donc, suite de la rubrique du bien manger : Le processus suprême !

Cela va vous paraître un peu «gonflant» (hoops, non ! pas ce mot !, je viens de m'acheter le dernier jean Diesel et je le ferme tout juste !), mais je vous assure, le lire est utile, ça permet de comprendre pourquoi aucun excès n'est anodin. Et puis, prendre le parti de la réflexion induit de prolonger le doute... Ca,  ça l'fait hein !!!!!!

Tout est histoire d'équilibre. Et une fois qu'on a compris ça, Pas besoin de régime.

. Les glucides : Ils comprennent le sucre et le glucose. Il y a 2 familles de glucides. Il y a les bons et gentils glucides qui font maigrir, Yaissse ! : ceux que connaît l'organisme et qui lui font brûler de l'énergie pour les métaboliser (les exploiter). Et il y a les mauvais (hou !!!!! les gueux !) qui font grossir : les stockeurs de gras dont notre organisme ne sait que faire.

- Le processus donc  :

. Le taux de glycémie : il garanti l'équilibre de notre organisme. Il doit être constant. Pour cela, avec les glucides contenus dans le pain complet, le chocolat, les pommes, l'organisme créé du glucose qui interfère sur notre taux de glycémie. Le circuit est bien huilé : les sucres voyagent de l'intestin dans le sang (en charter), le pancréas sécrète de l'insuline qui passe aussi dans le sang (en 1ère classe)...

. L'insuline : Grâce à elle, le sucre qui a été envoyé dans le sang passe dans nos cellules. Elle donne alors les infos qui commandent l'appétit. Elle expédie le sucre vers les muscles et le foie (le foie fait un petit stockage pour les urgences). Du taux de glycémie dépend votre énergie et sa constance.

A ce moment, la trop délicieuse barre chocolatée qui trône sur l'étagère du placard et qui vous envoie le doux chant des sirènes vous appelle. Je vous imagine déjà, un pied en l'air en appui sur le placard d'à côté tirant pour faire exploser la porte cadenassée qui vous sépare de la sucrerie avec une pince Monseigneur en hurlant, il me la faut, il me la faut, yé n'en poui plou !!! (ref. chapître « un café siou plaît ») !!! ». Et là damned ! Dès que vous avalez la barre de toutes vos envies, tout le processus reprend au commencement !... Et hop ! votre taux de glycémie monte à la vitesse de Space Mountain et créé de l'insuline en masse comme diraient nos cousins acadiens ! Le hic, c'est que pendant que vous vous délectez de ce petit plaisir, tant que l'insuline fait son office dans le sang, les cellules graisseuses restent à leur place sur vos hanches et votre petit bidon....

. Alors, le glucogène, héros du feuilleton, sauveur de nos jambes dignes des danseuses de Fame et brûleur de gras, ne peut pas rentrer en scène. Il est un peu vénère : Ce n'est que lorsque le taux de glycémie baisse de manière naturelle (avec riz ou pain complet, pomme, etc...) que le pancréas envoie ce sauveur en grande quantité dans le sang. Il freine alors le taux de glycémie. Pour relever le taux de glycémie, le foie intervient right now et ponctionne les réserves de cellules graisseuses pour les transformer en sucre. Là, c'est le jackpot ! Yaisse ! Ca commence à être intéressant pour nous ... enfin !

Petite entracte pour refroidir votre cerveau avant la suite : Voici un remède efficace contre le hoquet, il marche si on se concentre vraiment : Pensez à trois personnes chauves côte à côte. Vous avez 30 secondes. Si vous pensez vraiment à trois personnes différentes et chauves, ...Ca marche ! C'est le fait de beaucoup se concentrer qui fait ça, il paraît...

Mais si trop de grignotage ou de repas riches : Malheur !

. Lorsque les réserves affichent complet, c'est là que ça craint Jarnidieu, morbleu, Palsambleu ! les sucres superflus sont transformés en graisse et envoyés directement sur nos cuisses et sur notre petit bidon. Et allez ! tournée générale pour les bourrelets...

. Lorsque le cerveau (gros consommateur) manque de sucre, on s'énerve (et donc on énerve nos proches...), tsé-veut-dire qu'on casse les pieds à toda la familia autour de nous ! On manque de concentration (gaffe aux bourdes). Alors la machine réclame du sucré « hé ! fait péter les bonbons maudite feignante » crie Mr Métabo !. Et hop, triple salto double axel sur le placard à sucreries !!!!

C'est là que le processus s'emballe et notre taux de glycémie joue aux montagne russes « au s'cours, je descendre, j'ai l'vertige! ». En haut, en bas,....D'où un besoin constant de sucre. Delph, t'as tout compris ?

Comments

[Bibouillette]

là j'avoue j'suis trop crevette pour lire cet article si bien documenté ! Alors pour le moment je me contente de baver sur la photo et je reviens après la sieste ;o)